Cuissardes, escarpins, mules : chaussée pour te soumettre
Lors d’une séance BDSM, lors d’une session de domination, il n’y a pas que l’aspect verbal ou les sex-toys qui soient sources, vecteurs, porteurs de délices.
La tenue joue un rôle tout aussi important. Je choisis mes vêtements, mes costumes avec précaution. Avec raffinement. Ce que je porte aux pieds, notamment, fait partie intégrante de mon univers.
Les escarpins, les mules, les bottes mais aussi les cuissardes… doivent rappeler au soumis là où est sa place. Tout comme mon verbe sait le faire à sa manière.
Tu peines à faire la différence entre ces différentes déclinaisons ? Voilà quelques explications à ce propos. Profites-en : lors de notre rencontre, une fois le contrat établi, tu ne devras plus me poser de questions. Tu seras à mes pieds, tout simplement. Mes pieds bien chaussés.
Les escarpins : le talent au bout du talon
Ceux qui ont déjà visité mon donjon à Paris le savent : j’ai l’art de piétiner. Sans jamais nuire à ton intégrité physique – car notre sécurité n’est pas négociable – je n’hésite pas à me mettre sur toi, à marcher sur toi, à te montrer qui décide.
J’adore utiliser mes escarpins dans ce genre de moments. Tu sais, ces chaussures à talon, fermées sur le devant – celles qui couvrent le pied jusqu’à la cheville. Ces merveilles symbolisent l’ascendant que j’ai sur le dominé ; sur toi, petit être qui m’adore.
L’escarpin, par sa forme identifiable entre mille, figure mon pouvoir : mon pied pique en direction de ton dos, de tes lèvres. Tu en subiras toute la sévérité.
Les mules à plateforme haute, à forme hot
Pendant notre rencontre BDSM, tu seras ma mule. Ma petite bête de somme, bien obéissante. Et si tu es sage justement, si je le décide surtout, tu rencontreras… mes mules.
Elles ressemblent à des sandales, mais s’avèrent bien plus élégantes et raffinées.
Ce qui les distingue principalement des escarpins, c’est cet espace qui laisse apparaître les orteils. Vernis, délicats, d’un rouge qui appelle à l’érotisme.
J’aime jouer avec cette idée. L’idée que le pied apparaît un peu, se profile, se dévoile… sans être totalement mis à nu. Nous verrons alors si je te laisserai me déchausser…
… ou si, au contraire, ces mules resteront le prolongement de mon aura tentatrice, de mon côté inaccessible.
Peut-être qu’elles aussi, je les mènerai à te marcher dessus, ces mules, à parcourir ton dos. Tu te laisseras dominer, soumettre, je conquerrai ce territoire, cette peau qui sera mienne, chaque pas sera une victoire de plus pour ton impératrice.
Les cuissardes : l’autorité érotique à son comble
Ha, les cuissardes… ! Une dominatrice sait à quel point ces bottes sont susceptible de faire frémir de plaisir un soumis… rien qu’en les voyant s’approcher. Fières, élégantes, racées, Mesdames recouvrent donc partiellement ou totalement les cuisses, et c’est ce qui leur donne ce nom.
Ton imaginaire BDSM sera flatté par ces confections vertigineuses, au bout desquelles on retrouve l’inénarrable talon, allégorie inflexible de mon autorité.
Prends garde ! Défends-toi de les ôter si je ne t’en donne pas la permission. Si tu aimes les pieds, s’ils leur adoration fait partie de tes fantasmes, l’attente pourrait être douloureuse. Et alors ? Le plaisir de lécher, de sucer les orteils, ne serait-ce que de frotter tes joues d’impotent sur cette peau… n’en sera que plus cuisant, si je te l’accorde.
Les cuissardes sont des gardiennes, et je n’hésiterai pas une seconde à te remettre en place si tu tentes la moindre entorse, si tu te précipites…
Car érotiser, c’est alanguir. Alanguis-toi, pauvre chose, tu es bien chanceux d’avoir trouvé une maîtresse bien chaussée. Cuissardée.
Une ritualisation au service de ton plaisir
Le sadomasochisme est affaire de mise en scène. Attention à ne pas confondre avec le mensonge.
Ce que nous ferons dans le donjon n’a rien de faux. Ou d’hypocrite. Loin s’en faut.
Pour autant, la théâtralisation, la mobilisation d’accessoires, le jeu des symboles… tout cela contribue à la création d’une ambiance érotique.
Les cuissardes, les escarpins, les mules… auront un impact sur toi, physique, sensible. Mais aussi sur ton esprit. Et tu n’imagines pas à quel point l’esprit peut jouir. Un orgasme ne vient pas forcément d’une masturbation mécanique et triviale. L’extase brûle si bien dans le foyer de ton imaginaire.
Le cuir des cuissardes, pour ne citer qu’un exemple, touche à tes désirs de correction. C’est un matériau invoquant l’idée de puissance. Sachant que ce cuir n’est finalement que le matériau, que ses atouts tiennent de l’esthétisme… il y a encore tout le reste (la forme globale, les talons, le dévoilement potentiel des pieds…) pour te faire frémir d’aise.
C’est un véritable rituel qui va mettre mes chaussures, mes bottes à l’honneur. Il te rappellera peut-être certaines choses que tu as lues, vues, entendues… sauf que j’y mettrai aussi de moi. De mon histoire. De mon imaginaire. Il te faudra l’accepter, si tu veux ressentir ce plaisir, cette jouissance authentique et délicate.
Des surprises, aussi, au sein de mon donjon à Paris
Soyons clairs, car c’est essentiel pour moi : ritualisation ne veut pas dire routine. Pour autant qu’on ait le sens de l’improvisation et qu’on sache cultiver la surprise, bien évidemment.
C’est exactement mon cas. Maîtresse Saylie ne se repose jamais ses lauriers. Dieu sait ce qu’elle en est couverte, pourtant. Ma gloire est grande.
J’aime dérouter. Varier les accessoires. Tu verras bien ce qui protégera mes précieux pieds, quand tu viendras me rendre visite dans mon donjon à Paris. Bien sûr, je tiendrai compte de tes fantasmes. De tes limites, aussi.
Pour autant, quand tout cela est bien clair, ne t’attends pas à anticiper mes mouvements. Mon piétinement. Oh que non ! Ce serait d’une insolence impardonnable.
Mon petit soumis, tu vas apprendre à te résigner. Te dévouer, c’est accepter que mes escarpins, mes cuissardes, mes mules et autres chaussures toutes dédiées aux fétichismes prennent le contrôle.
Tu veux en savoir davantage ? Me voir bien chaussée ? Alors il te suffit de me contacter.
