Maîtresse Saylie

Les scénarios BDSM : un cuisant univers fantasmagorique

C’est à travers les scénarios que le BDSM prend une dimension unique. La mise en scène fait partie intégrante du sado-masochisme. Elle n’empêche aucunement la sincérité, le plaisir authentique ; c’en est, au contraire, le vecteur.
Je désigne souvent mes soumis comme des jouets, car il est toujours question d’un jeu. D’un jeu de rôles, où j’incarne la maîtresse ; l’homme, lui, devient esclave, page, serviteur.
Oh, tout n’est pas feint ou artificiel pour autant. Rassure-toi. En ce qui me concerne, la domination m’est absolument naturelle. Les scénarios BDSM offrent simplement l’occasion de nourrir l’esprit, de lui déployer un terreau fertile, grâce aux accessoires, aux situations, voire aux décors qui encadrent les pratiques.
Il y a autant de possibilités thématiques et narratives que d’étoiles dans l’univers, mais j’ai réuni quelques exemples de situations qui reviennent les plus souvent, ou qui se révèlent particulièrement excitantes.

La féminisation

Dans ce scénario BDSM, le terme « femdom » se lira dans les deux sens : la domina exerce son autorité sur une femme.
Il m’arrive régulièrement de féminiser mes mâles-aimés. Ils portent alors des porte-jarretelles, des soutien-gorge, des petites culottes… Ils se maquillent, prennent expressément une voix plus aigüe…
Cela peut être l’occasion (mais il n’y a rien de systématique) d’aller jusqu’à l’inversion sexuelle. L’homme reçoit alors la pénétration au lieu de pénétrer.
Afin d’en savoir davantage à ce propos, tu peux consulter cette page.

La maîtresse et son élève

J’ai créé ma propre marque de sex-toys et d’instruments propices au sado-masochisme. Au sein de l’attirail, il y a notamment une règle en bois.
Cet objet matérialise divinement bien le rapport de domination/soumission ; il évoque les punitions scolaires, toujours entre adultes consentants bien sûr. Le dominé se délecte alors, si je le veux bien, d’une correction bien flanquée.
Afin de contextualiser le jeu, il est possible d’inventer une erreur initiale, un péché originel, qui motive le sévisse. Puis ce sont les réactions, la dévotion, l’attitude du soumis qui peuvent rythmer la session. S’il ne veut pas aller au coin, l’élève devra faire preuve d’un dévouement sans concession.

Le valet aux pieds de sa reine

Puiser dans le protocole monarchique est une aubaine pour les jeux BDSM. Le soumis se fait alors valet. Il est au petit soin pour sa reine, allant jusqu’à la vénération. Sa Majesté en appelle au respect, à la dévotion absolue.
Peu encline à dévoiler sa peau, elle n’hésitera aucunement à se faire désirer : le page ne sera autorisé qu’éventuellement, qu’in extremis à dénuder ses pieds.
Ce n’est bien sûr qu’un exemple ; toujours est-il que les séances de sado-masochisme gravitant autour de ce thème se révèlent particulièrement raffinées et précieuses.

BDSM Dominatrice Maitresse Paris

Le voyou puni

Au gré du large spectre des scénarios BDSM, on retrouve des configurations donnant au terme « donjon » tout son sens. Le fouet, le martinet, ou des dispositifs sophistiqués comme les appareils d’électrostimulation… se font instruments de torture.
Le dominé est alors puni, remis en place, à coup de fouets ou via bien d’autres jeux d’impact. Là encore, une histoire, une fable sert souvent de déclencheur. Les balançoires, piloris de contrainte ou encore les mystiques croix de Saint-André plantent le décor.
Et s’il espère obtenir grâce, le soumis devra s’employer à une servitude sans compromis.

BDSM Dominatrice Maitresse Paris

Les scénarios BDSM : plonge dans un monde à part, délicieusement libérateur

Je tiens à le souligner : une dominatrice qui sait s’y prendre, qui fait preuve de professionnalisme en toutes circonstances, veille à sa sécurité et à celle d’autrui.
Le jeu doit rester un jeu : il n’est jamais question de détruire psychologiquement une personne ou de la meurtrir physiquement. C’est plutôt l’inverse : les scénarios BDSM ouvrent les portes d’un monde hors du temps, où les fantasmes (certains d’entre eux, en tout cas) parviennent à s’épanouir sans les engoncements d’une société moralisatrice, sans la peur de mal paraître ou de mal faire.
Quant au corps, il finit par trouver en la douleur une extase salvatrice ; la jouissance vient du contraste, de l’à-coup, de manière bien plus subtile que lors d’un rapport sexuel classique.
J’espère que ces lignes t’ont fait (re)découvrir à quel point la domination était aussi, pour ne pas dire surtout une affaire d’esprit. D’intellect. Et si tu souhaites échanger à ce propos, il est possible de me contacter… avec peut-être, à la prochaine étape, une exploration de mon donjon parisien.
Nous verrons si le scénario te guidera jusqu’à l’entrée…