Maîtresse Saylie

Qu’est-ce qu’une « femdom » et quelle est l’origine de ce mot ?


Tu as sans doute déjà lu et/ou entendu le mot femdom. Mais sais-tu exactement ce qu’il désigne ? En tant que dominatrice experte, je me délecte de chaque réflexion lexicale. Je considère que la volupté se déploie également grâce au verbe.
Ainsi, tout naturellement, je me suis renseignée à propos de ce mot-valise. Dans les lignes à venir, tu vas en découvrir les subtilités.
Car oui, l’univers du BDSM est affaire de nuances. La palette des sensations se conjugue à celle des définitions… avec toujours une part de mystère.
Mais trêve de généralités. Voici donc une définition de « femdom ».

Que veut dire le mot « femdom » et d’où vient-il ?

Le terme femdom est issu de l’anglais. Il s’agit d’un mot-valise, comme je l’évoquais ci-dessus.
Autrement dit, il est né de l’association, du rapprochement entre deux autres mots. En l’occurrence,
« female » et « domination ». Leur fusion a engendré « femdom ».
Aucune des sources que j’ai consultées n’indique de moment précis où ce terme serait apparu pour la première fois. On peut raisonnablement penser, cependant, que son émergence est liée au développement du sado-masochisme moderne, entre la fin du XXe et le début du XXIe siècle.
Il s’agit de désigner les dominatrices, celles qui détiennent un pouvoir sur l’homme (ou la femme, notamment dans le cadre d’une féminisation).

BDSM Paris Dominatrice

Fait intéressant : cela peut également renvoyer à l’activité elle-même. La « femdom » est parfois une pratique sexuelle, un jeu de soumission où la femme exerce son autorité sur l’homme… et c’est, selon la manière dont un locuteur l’utilise, la femme qui domine en tant que telle. Non plus l’acte, mais l’actrice.
Ces explications offrent déjà une belle base pour comprendre ce néologisme. Il reste une question à se poser : le femdom renvoie-t-il à une forme particulière de BDSM ?

Maitresse BDSM Paris Pegging
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Femdom et dominatrice : y a-t-il une différence ?

Certains sites spécialisés, particulièrement au sein de la sphère anglophone, invitent à différencier les dénominations.
Ainsi, « Maîtresse », « Femdom » et « Dominatrix » graviteraient autour d’une idée commune tout en supposant des approches différentes. Pour ma part, j’ai le sentiment que l’imaginaire érotique, surtout dans l’univers du sado-masochisme, résiste aux délimitations trop rigides.
On remarquera simplement que « femdom » fait souvent écho à une forme de philosophie, à une tendance : son « hashtag » se porte davantage comme un étendard communautaire que « #dominatrix », qui s’applique plutôt à une personne, à une experte en particulier.
Comme tu peux le constater, la notion de « femdom » est très polyvalente. Elle se meut au gré des utilisations, avec une constante tout de même : celle de l’ascendant, du pouvoir féminin plus exactement, à tel point que la femme et la puissance ne font plus qu’une.

Au-delà des mots, car ils sont importants mais ne devraient jamais engoncer nos pensées, il y a donc cette idée excitante, en appelant au profond désir d’obéissance. Cette emprise matérialisée, jouée, mise en scène via le pegging, les coups de fouet, les jeux de piétinement…
Si tu veux en savoir plus sur la manière dont je pratique la femdom, contacte-moi. Pour autant que ton message me séduise, je songerai à t’ouvrir les portes de mon donjon parisien dans le Ve arrondissement. Oseras-tu tenter l’expérience ? T’en remettre aux plaisirs de la domination féminine ?