Maîtresse Saylie

Saylie's Sunday 1

J’apprécie les instants tannés et débordants d’intimité. Voilà pourquoi certains dimanches, j’orchestre pour mes plus grands plaisirs des « dé-jeux-ners » que j’ai baptisé les « Saylie’s Sunday » et dont voici le récit par un soumis que j’ai baptisé Poupée.

Un dimanche de rêve.

11h 45, Ce dimanche. Le premier Saylie’s Sunday n’a pas encore commencé, et je suis en cuisine, quasi nu, à préparer les toasts. Bientôt, plein de petites gourmandises remplissent les assiettes.
Entre temps, Vénus, Votre soumise est arrivée. Une belle jeune femme brune, aux magnifiques rondeurs.
̶ Mademoiselle Vénus, c’est un plaisir de faire votre connaissance.
S’en-suit le baise-main que tout soumis bien élevé doit à une femme, fût-elle soumise. Elle se déshabille, de coquines dentelles ne laissent rien ignorer de sa généreuse anatomie.
Encore quelques toasts et les assiettes débordent. Arrive Aline, Votre soumis masculin. Sushis et makis sont commandés, Aline a oublié de s’en occuper. Ils arriveront bientôt. La bouteille est débouchée, les flûtes remplies, il est temps de trinquer.
̶ A notre santé, et à ceux qui nous aiment!
L’atmosphère est joyeuse, la conversation enjouée Je suis heureux d’être en si bonne compagnie et Vous êtes ravie de la façon dont commence cette réunion. Vous en profitez pour orner ma barbe de petits clips en forme de roses et de papillons.
Les sushis sont arrivés.

̶ Poupée, viens ici.
Je me place au centre de la pièce. Vous passez derrière moi et me pincez le tétons. Une fois, deux fois trois fois. Les martyrisez. Les tordez. Je m’y attendais. Vous adorez m’entendre gémir pendant que je ne peux m’empêcher de me tortiller sous vos mains impitoyables.

̶ Lève les bras.
Vous commencez à m’envelopper le torse dans de la cellophane. C’est une sensation nouvelle pour moi, bien serré dans le plastique.
̶ Poupée, à quatre pattes.
Me voici transformé en table, les sushis et les makis disposés sur mon dos. Vous trônez sur la méridienne, Vénus assise dans un petit fauteuil et Aline à ses genoux. Vénus est chargée de nous nourrir, ce dont elle s’acquitte avec gentillesse. Les sushis sont savoureux.
Etes-vous d’humeur taquine? Votre pied vient me caresser le ventre et la poitrine, me fait délicieusement frissonner. Je m’efforce de ne pas bouger, il ne faut surtout pas faire tomber les mets présentés sur mon dos. Vénus me propose un nouveau sushi, tout aussi délectable que les précédents. Votre pied continue de me chatouiller délicatement… Quel agréable moment nous passons ainsi, prenant le temps de dé-jeux-ner dans cette ambiance détendue que vous avez imaginée pour votre plus grand plaisir.

Les sushis sont terminés.
̶ Poupée, lève-toi. Viens ici.
De nouveau, mes tétons ne tardent pas à souffrir, malgré la cellophane. Puis Vous fixez un petit collier à impulsions sur mon membre. Picotements puis décharges ne tardent pas à ce succéder à un rythme régulier.
̶ Vénus, places-toi en face de Poupée.
̶ Levez les bras tous les deux.
Assistée par Aline, Vous nous cellophanez ensemble. La belle poitrine de Vénus contre mon torse, nous sommes plaqués l’un contre l’autre.
̶ Aline, lèche l’anus de Vénus.
Aline s’agenouille derrière Vénus tandis qu’elle écarte ses fesses de ses bras restés libres. Bientôt, Aline a la permission de lécher aussi son sexe. Quant à moi, j’ai droit à votre spécialité, la badine. Un premier impact, un deuxième et tout s’accélère. Les fesses me cuisent. Vénus, elle, commence à tanguer contre moi, yeux fermés. Sa respiration se fait plus profonde, et voilà qu’elle gémit doucement de plaisir.

̶ Mets tes bras autour de son cou.
Clac! Un premier coup de fouet s’abat sur ma cuisse, suivit de bien d’autres. Je vacille, Vénus tangue, notre équilibre devient précaire. Les coups redoublent. Je gémis, cherche mon souffle.
Une accalmie? Peine perdue, Vous venez de changer d’instrument. Les coups s’abattent à la volée sur mes fesses dans un bruit assourdissant. Et me font vaciller, gémir de plus belle.
Encore un nouveau fouet, plus long, plus épais, plus menaçant. Mon dos, mes fesses, mes cuisses me brûlent sous la morsure des impacts. Je gémis, halète encore plus fort. La douleur est intense, je suis à la limite de crier. Les coups continuent de pleuvoir, semblent ne jamais devoir s’arrêter…
̶ Rouge, Maîtresse, parviens-je à dire dans un souffle.
Vous m’avez vaincu. Je ne pensais pas aller jusque là, mais je ne me sens pas la force d’aller plus loin aujourd’hui. Quelle magistrale correction.

Vous nous délivrez de notre étreinte, m’enlevez le collier à impulsion. Les décharges n’ont pas cessé, mais je en m’en rendais plus compte. Les bras en l’air, me voilà entravé de dos à la croix de Saint André, et revêtu d’un préservatif. Bien sûr, Vous laissez de nouveau libre court à votre pêché mignon et jouez avec mes tétons. Je ne tarde pas à me tortiller sous vos mains impitoyables.
̶ Vénus, viens devant Poupée. Suce-le.
A quatre pattes devant moi, elle prend mon membre dans sa bouche, use de sa langue et de ses lèvres, m’empoigne d’une main tandis qu’elle assure son équilibre de l’autre. Quel contraste avec les minutes précédentes. Je me sens revivre et fondre à la fois sous les caresses expertes de Vénus. Aline est aux anges. Elle a ordre de continuer à lécher l’intimité de Vénus. De voluptueux moments viennent de commencer…

Le temps de quelques photos, puis vous me détachez, me délivrez du plastique et Vous asseyez sur le fauteuil.
̶ Vénus, viens ici. Allonge-toi sur la méridienne et écarte les cuisses.
̶ Aline, lèche-la.
̶ Poupée, caresse-lui les seins.
Il ne lui faut pas longtemps avant de gémir à nouveau et d’onduler sensuellement. Entre temps, Vous Vous êtes levée. Badine et martinet s’abattent sur les fesses d’Aline pour la punir de son oubli. Elle a tôt fait de demander grâce.
Changement de position. Aline assise à la tête de la méridienne, Vénus la suce et c’est à moi de m’occuper de son intimité avec ma langue. Bientôt, nous tanguons tous les trois dans un petit moment d’éternité sensuelle.

Nouveau changement de position. C’est à moi d’être à la tête de la méridienne, et Vénus me donne du plaisir, d’abord avec sa bouche, puis avec un vibro. Les sensations sont incroyables. Yeux fermés, tête en arrière, je ne suis plus que vibrations, un point dans l’espace de sensations pures, tendu vers la jouissance sans y parvenir tant les vibrations sont présentes et se substituent à toute autre sensation…
Un cour temps de repos, et me voici debout, face à Vous, vos grandes griffes d’ours à la main. Un premier contact me fait frissonner, puis vous y allez franchement, labourant mon dos, mes fasses, mes cuisses. Je me tortille, tressaille, vacille.
̶ Allonge-toi sur la table.
D’une main, Vous pincez mes tétons, de l’autre me montrez votre terrible roulette de Wartemberg.
̶ Vénus, occupe-toi de ses tétons.

Aussitôt, elle les pince du bout des ongles. Une douleur aigue me traverse. Une douleur encore plus forte me fait gémir et sursauter: Vous parcourez mon sexe, resté très sensible après le vibro, avec la roulette. Instantanément, c’est comme si Vous y enfonciez des dizaines et des dizaines de minuscules aiguilles. Je suis à la limite de crier, je geins de plus en plus fort.
̶ Vénus, mords-lui les tétons.
Elle s’exécute et mord mon téton gauche. Je n’ai jamais rien senti d’aussi intense sur cette partie de mon corps si sensible. Et vous continuez de me supplicier avec la roulette, m’observant d’un air ravi. Vénus ne desserre pas les dents. Je gémis et halète de plus en plus fort, le bout du téton fermement tenu entre ses incisives. C’est à la limite de l’insupportable. J’essaie de résister, je ne gémis plus, je commence à crier dans un râle à chaque fois que je reprends mon souffle. Mes râles se transforment en un espèce de ricanement désespéré, et me voilà à rire comme un dément sous le trop plein de sensation, riant de douleur sans pouvoir m’arrêter.
Ce sera le pont final qui clôt en beauté votre premier Saylie’s Sunday. Je vous sens pleinement satisfaite, et j’en conçois une grande joie. Quel bonheur de s’abandonner à votre sensuelle et implacable fantaisie.